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Résultats trouvés pour : pierre

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Patrimoine

  Nom de l'élément : Cabane néolithique en pierres sèches

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  Nom de l'élément : Moulin de Saint pierre de la Fage

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  Nom de l'élément : Grotte de la pierre tintante

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  Nom de l'élément : Menhir de la pierre Plantée

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  Nom de l'élément : Chapelle Saint-pierre de Mérifons

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  Nom de l'élément : Menhir dit la pierre des Clapisses

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  Nom de l'élément : Observatoire de la pierre sèche

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  Nom de l'élément : pierre des Traginers

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  Nom de l'élément : Chapelle Saint-pierre-de-Léneyrac

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  Nom de l'élément : Chapelle Saint-pierre Aux Liens

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  Nom de l'élément : Capitelle et mur de pierres

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  Nom de l'élément : pierre Bamboche

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  Description : Grande capitelle appartenant à la commune, entièrement restaurée en 2010 en collaboration avec les associations « pierres d’Iris » et « APAR (Amarante de Pignan Association de Randonneurs) » sous la responsabilité d’Alain Mathieu, artisan spécialiste dans la construction en pierre sèche. Entrée exposée à l’est.

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  Description : construction récente par l'association "pierres d'Iris" pour le téléthon 2006

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  Description : "Table des Romains", restauré en 1992 par l'association pierres d'Iris

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  Description : Construction récente (décembre 2009) par l'association "pierres d'Iris" sous la direction de Gilles Fichou.

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  Description : devant l'entrée du Mas de pierrelle, Ce puits appartenait à la SNCF et servait à alimenter en eau les personnes qui vivaient dans la maisonnette garde-barrière plus loin vers le nord à 100 mètres. Les gens du mas de Siau au-dessus n’avaient pas le droit de prendre l’eau. Si le puits était vide en été, un wagon-citerne venait et remettait de l'eau à l’intérieur. Source : Pierres d'Iris

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  Description : ou château Saint-pierre

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  Description : dans un cairn de pierres de 3 mètres de haut, composé d'un couloir, d'une antichambre, d'une chambre et 5 dalles de couverture. Monument clessé en 1954.

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  Description : Le menhir de la Casa Cremada II est une pierre dressée en gneiss sous forme de stèle et à section rectangulaire. Il a une hauteur de 2,35 mètres mais on n'en connaît pas l'origine car, lorsqu'il a été découvert, il était cassé à la base. Il s'agit d'un monument préhistorique dont la chronologie est plutôt vaste (entre le quatrième et le troisième millénaire av. J.-C.) étant donné qu'on trouve des menhirs pendant le Néolithique moyen et final et le chalcolithique. Il a été découvert par le géologue Carles Roqué en 1998 et a été redressé l'année suivante dans le cadre du Mai Mégalithique, une fête populaire qu'on célèbre chaque année à Rosas depuis 1997. L'orientation que présente le menhir est approximative car on n’a jamais fait de fouilles et on ne connaît pas le lieu où il était implanté à l'origine. Il y a quelque années, cet élément archéologique a été victime de vandalisme et a été sectionné de façon volontaire sur sa partie inférieure. Actuellement le menhir présente tout autour une terrasse maçonnée qui le maintient dressé mais qui empêche de le voir tel qu'il était lorsqu'il a été redressé.

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  Description : Cabane faite de pierres disposées à sec, qui aurait été utilisée par les paysans qui cultivaient le champ où elle se trouve. La cabane devait servir à entreposer les outils ou la récolte ou bien pour s'abriter en cas de mauvais temps. La porte est orientée au sud, à l'abri de la tramontane, et elle est de petite dimension par rapport à la hauteur et à la largeur de la construction. La cabane est à base ovale et construite avec des pierres du sous-sol naturel, issues de l'épierrage du champ pour le cultiver. Ici, il s'agit de pierres en granit et en ardoise. La couverture de la cabane est également faite en pierre sèche suivant la technique de la fausse voûte (ou encorbellement), caractérisée par le fait que chaque rangée prend pour support la précédente jusqu'à fermeture de l'espace. On ne peut donner une chronologie précise à cette construction car il s'agit d'un ouvrage de style populaire sans élément permettant de l'associer à une chronologie. Toutefois, il est très probable qu'elle ait été construite au cours des XVIIe ou XVIIIe siècles, époque à laquelle de nouvelles terres de culture sont aménagées dans des zones incultes de la commune pour y planter de la vigne ou des oliviers.

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  Description : Vestiges d'une ancienne bâtisse identifiés comme appartenant éventuellement à une église préromane. À base rectangulaire, ses murs étaient faits de pierres non taillées provenant des environs, disposées en épi et jointes à l'aide de boue. De par la largeur et la dimension de la bâtisse, celle-ci était probablement couverte d'une voûte, aujourd’hui écroulée. Côté sud, on observe les vestiges adossés d'une autre bâtisse ultérieure. Tant l'orientation de la bâtisse principale que la technique de construction suggèrent une chronologie éloignée. L'hypothèse qui défend l'attribution d'un emploi comme temple est fondée sur son orientation et sur le fait qu'il s'agit d'une construction à une seule nef allongée et étroite avec un accès côté sud, traits caractéristiques des anciens bâtiments de culte ruraux. Les murs qu'on voit adossés sur le côté sud de cette première bâtisse ont été ajoutés ultérieurement. La technique de construction utilisée y est plus irrégulière et plus austère que sur l'autre bâtiment, les pierres sont plus petites et seuls les blocs en coin présentent des marques de taille. La bâtisse, à défaut d'une intervention archéologique qui viendrait le confirmer, est interprétée comme une partie d'une ancienne cellule monastique avec une église et des dépendances à côté.

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  Description : Le menhir de la Casa Cremada I est un grand bloc de gneiss qui se trouve dans la zone mégalithique de Roses et qui est probablement d'origine préhistorique. Il se présente sous forme de stèle et mesure 2,4 mètres de hauteur. La pierre présente une veine blanche de quartz sur la partie supérieure qui le caractérise et les bords du mégalithe ont été taillés depuis longtemps pour lui donner la forme souhaitée. Il a été découvert au mois de décembre 1996 par des habitants de Roses, Carles Pàramo Barbarà et Esteve Martínez, qui l'ont baptisé du nom de la zone où il se trouve. Le menhir a ensuite été examiné par des experts qui en ont déterminé la probable origine préhistorique à l'issue de fouilles. Au mois de mai de l'année suivante, en 1997, il a été redressé au cours de la première fête mégalithique. Il a été donné au menhir une orientation nord-sud et celle-ci est exacte car, au cours des fouilles, on a retrouvé son trou d'origine et les pierres ou dalles qui le calaient. Ainsi donc, hormis le fait qu'on ait pu établir son orientation, l'endroit où il se trouve actuellement est bien celui où l'avaient situé ses constructeurs à un moment donné entre le quatrième et le troisième millénaire avant Jésus-Christ.

Patrimoine

  Description : Les terrasses de culture, cabanes, murs de mas et terrains pierreux évoquent le passé prospère d'une terre labourée et plantée de vignes et oliviers. Le retrait des pierres sur ces terres a permis de fournir la matière première suffisante pour bâtir ces constructions qui, avec l'arrivée du phylloxéra, ont été pour la plupart abandonnées. La technique de construction utilisée est connue sous le nom de pierre sèche et consiste à disposer les pierres par rangées sans être jointes par un quelconque matériau. Les pierres utilisées proviennent des lieux mêmes et ne sont en principe pas taillées. Dans ce secteur, le sol est pierreux et le déblayage de nouvelles surfaces de culture à fourni des pierres en abondance aux paysans. Les cabanes ont été construites dans les champs qui étaient éloignés du village pour y garder les outils ou pour se protéger en cas de mauvais temps. Celle que nous avons sous les yeux est une cabane de type tronconique avec un anneau de contention qui vient la renforcer. La fausse voûte (ou encorbellement), toujours conservée, est couronnée d'une dalle mobile permettant de laisser sortir la fumée lorsqu'on faisait du feu.

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  Description : Le menhir de la Casa Cremada III est une pierre dressée en granit qui mesure 1,70 mètres de hauteur pour 1,20 de largeur à la base et 66 centimètres sur la partie supérieure. Il a une orientation très proche du N/S exacte (10º-190º) et une section rectangulaire. On voit que les côtés ont été repiqués et le côté sud est écorné. Son origine préhistorique n'a été confirmée par aucun scientifique. Il a été découvert par un habitant de Rosas, Miquel Palós Padrós, en 2002 et on pense qu'il a toujours été dressé. Pendant la préhistoire les menhirs remplissaient très certainement des fonctions de signalisation ou bien de type religieux et on les trouve fréquemment dans des zones dolméniques telles que celle où nous nous trouvons. Ces mégalithes présentent une chronologie vaste qui va du quatrième ou troisième millénaire av. J.-C. Cette pierre dressée pourrait bien être un menhir ou une borne. Toutefois, de par le fait qu'il se trouve dans une zone dolménique, il y a de fortes probabilités pour qu'il s'agisse d'un mégalithe et que ce soit l'un des quatre menhirs que le chercheur Manuel Cazurro aurait observé en 1912 dans les environs du dolmen de la Creu d'en Cobertella.

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  Description : Sépulture à couloir répertoriée pour la première fois en 1912. Conservé dans une ferme, dont il prend le nom, le dolmen fut utilisé comme basse-cour jusqu'à l'abandon du mas. En 1957 l'archéologue Francesc Riuró mena à bien une campagne de fouille et de restauration du mégalithe, qui permit de fournir des renseignements sur le couloir et le grand tumulus qui l'entourait. La construction du dolmen se situe entre 3500 et 3000 av. J.-C. Le mégalithe est fait de grandes dalles en gneiss, une pierre abondante dans les environs immédiats, qui configurent la chambre de forme trapézoïdale. Les dalles qui la ferment, la couverture ovale et l'antichambre sont toujours sur pied. Ce qui n'est plus visible, c'est le couloir qui donnait accès à la chambre, formé de trois dalles sur le côté ouest et quatre à l'est, et que l'on identifie grâce aux incisions trouvées sur la roche, où étaient implantées les dalles. Quant à ses dimensions, le dolmen de la Creu d'en Cobertella est considéré comme l'un des plus importants de Catalogne. Par ailleurs, le poids considérable de la dalle de couverture fait que l'équilibre de la structure soit fragile. Pour en garantir la conservation, depuis quelques années, une clôture interdit aux visiteurs de s'en approcher et il est indiqué, par sécurité, de ne pas y monter.

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  Description : Le dolmen du Llit de la Generala ou de la Sureda d'En Falp est une sépulture à couloir avec une chambre à tendance pseudo-circulaire et un couloir étroit. Il est en gneiss et présente une orientation nord-est, bien que le couloir, fait de murs en pierre sèche, se dévie de 50º vers l'ouest, probablement pour corriger l'orientation originale de la chambre. Avant les fouilles et avant d'être restauré en 2001, le mégalithe était encastré dans un muret de vigne qui en protégeait le tumulus, le couloir et les dalles tombées. Au cours des fouilles, on a pu récupérer une grande partie de la structure originale, ce qui a facilité la reconstruction du dolmen pour en favoriser la compréhension. Seul le côté gauche du tumulus a dû être refait complètement. Les fouilles sur le site ont permis de récupérer des fragments provenant d'ustensiles funéraires, en particulier dans un trou situé à l'entrée du couloir qui était très certainement la cavité rituelle. On a retrouvé dans cette cavité des objets d'un grand intérêt tels que trois bols en céramique et une assiette qui ont permis une chronologie plus précise du mégalithe autour de 3500 av. J.-C. ; toutefois, son utilisation a dû se poursuivre jusqu'au début du troisième millénaire.

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  Description : Partiellement restauré avec des pierres et du ciment, c’est moche et cela lui enlève tout son charme.

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  Lieu : Saint-pierre-de-la-Fage

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  Lieu : Saint-pierre-de-la-Fage

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