Patrimoine - Noms



  Constructions fortifiées  (Châteaux, Tours, Donjon, Remparts)
  Constructions  (Pigeonniers, Lavoirs, Fours, Tours, Glacière, Granges, Silo)
  Constructions en pierres sèches  (Capitelles, Clapas, Cairns)
  Dolmens et menhirs  (Dolmens, Menhirs, Cromlechs, Tumulus)
  Domaines  (Domaines, Mas, Fermes, Bergeries, Villa romaine)
  Édifices religieux  (Églises, Chapelles, Abbayes)
  Moulins  (Moulins à vent ou à eau)
  Ponts  (Ponts, Aqueducs, Viaducs)
  Sources et Points d'eau  (Sources, Puits)
  Grottes  (Cavernes, Avens)
  Divers  (Mines, Carrières)

 Dolmens et menhirs


Dolmen des Fades (Pépieux)
Bâti au néolithique final (vers -3000), il était toujours en usage à l’époque du cuivre (à campanifonne) et aux premiers temps de l’âge du bronze. La tombe des fades est le plus grand dolmen du midi de la France.
Menhir du Lacam des Lavagnes (Les Lavagnes)
Conolha de la Fada, Quenouille de la Fée. Deuxième plus haut menhir de l’Hérault (4,50 mètres).
Mégalithes de Toucou (Octon)
Groupement mégalithique, constitué de treize dolmens répertoriés et d’un menhir.
Dolmen de Tiergues (Tiergues)
Dolmen de Fontcouverte (Fontcouverte)
Dolmen de Crassous (Crassous)
Dolmen (Crassous)
Dolmen effondré (Crassous)
au milieu d’un champ.
Dolmens du Mas Reynard (Vailhauquès)
Dolmens du Mas Reynard (Vailhauquès)
Dolmens du Mas Reynard (Vailhauquès)
Dolmen (Vailhauquès)
Dolmen de Toucou (Octon)
Dolmen de Toucou (Octon)
Dolmen de la draille (Viols-le-Fort)
Élevé en -3000 av. J.-C. par les populations autochtones de la fin de l’âge du cuivre, chambre funéraire de très faible hauteur, précédée par une antichambre et un couloir d’accès constitué de dalles dressées.
Tombes de Cazarils 1 (Viols-le-Fort)
Tombes ovales
Tombes de Cazarils 2 (Viols-le-Fort)
Tombes ovales
Dolmen du Pouget (Pouget)
Dolmen de Puech Rouquier (Saint-Georges-d’Orques)
Dolmen de Lamouroux (Lamouroux)
Dolmen de Lodevois (Le Puech)
"Cayroux", "Fourille"
Dolmen du Mas Trinquier (Lavalette)
Dolmen de Lamouroux (Lamouroux)
Cromlech du Pioch de Roumanis (Massif de la Gardiole)
Menhir du Pioch de Roumanis (Massif de la Gardiole)
Menhir de la Pierre Plantée (Massif de la Gardiole)
Dolmen de la Coste (Frontignan)
Dolmen de Cantegal (Villeveyrac)
"Table des Romains", restauré en 1992 par l'association Pierres d'Iris
Dolmens du Mas de Sainton (Poussan)
Dolmens du Mas de Sainton (Poussan)
Tumulus (Arboras)
Tumulus (Arboras)
Dolmen de Prunarède (Saint-Maurice-Navacelles)
Dolmen de Capucin (Claret)
Dolmen de Capucin 2 (Claret)
Dolmen de Viastre (Lauret)
Menhir de Juoilles (Rouet)
Menhir des Chênes (Aumelas)
Menhir du Grand Puech (Aumelas)
Dolmen du Conseil (Aumelas)
Dolmen de Marviel (Rouet)
Dolmen de la Liquière (Rouet)
Dolmen de la Roquette (Saint-Pargoire)
Dolmen de la Mare de Roubiac (Cazevieille)
Dolmen des Linquières (Cébazan)
ou dolmen de Montmajou
Dolmen de Ricone 1 (Notre-Dame-de-Londres)
Dolmen de Ricone 2 (Notre-Dame-de-Londres)
Dolmen de Ricone 3 (Notre-Dame-de-Londres)
Dolmen de Ricone 4 (Notre-Dame-de-Londres)
Tumulus de la nécropole de Ricome (Notre-Dame-de-Londres)
Dolmen de la Caumette (Notre-Dame-de-Londres)
Tumulus de la Caumette (Notre-Dame-de-Londres)
Dolmen de la Bergerie de Lamalou 1 (Rouet)
Dolmen de la Bergerie de Lamalou 2 (Rouet)
Dolmen et tumulus de Lamalou (Rouet)
dans un cairn de pierres de 3 mètres de haut, composé d'un couloir, d'une antichambre, d'une chambre et 5 dalles de couverture. Monument clessé en 1954.
Dolmen du Grand Juyan de la Figarède (Cazevieille)
Dolmen de Roubiac (Cazevieille)
Tumulus de la Bergerie de l'Hortus (Rouet)
Dolmen de la Bergerie de l'Hortus (Rouet)
Dolmen des Camps (Rouet)
Tombe ovale des Camps (Rouet)
Dolmen des Feuilles (Rouet)
Dolmen des Feuilles 2 (Rouet)
Dolmen des Feuilles 3 (Rouet)
Grand dolmen de Ferrussac (Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries)
Petit dolmen de Ferrussac (Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries)
Menhirs du Coulet (Saint-Maurice-Navacelles)
Menhirs du Coulet 2 (Saint-Maurice-Navacelles)
Menhir de la Cisternette (Saint-Maurice-Navacelles)
Dolmen du Mas de Perri (Murles)
Menhir dit la Pierre des Clapisses (Valmascle)
Dolmen des Matelettes (Viols-le-Fort)
Menhir de la Casa Cremada II (Roses)
Le menhir de la Casa Cremada II est une pierre dressée en gneiss sous forme de stèle et à section rectangulaire. Il a une hauteur de 2,35 mètres mais on n'en connaît pas l'origine car, lorsqu'il a été découvert, il était cassé à la base. Il s'agit d'un monument préhistorique dont la chronologie est plutôt vaste (entre le quatrième et le troisième millénaire av. J.-C.) étant donné qu'on trouve des menhirs pendant le Néolithique moyen et final et le chalcolithique. Il a été découvert par le géologue Carles Roqué en 1998 et a été redressé l'année suivante dans le cadre du Mai Mégalithique, une fête populaire qu'on célèbre chaque année à Rosas depuis 1997. L'orientation que présente le menhir est approximative car on n’a jamais fait de fouilles et on ne connaît pas le lieu où il était implanté à l'origine. Il y a quelque années, cet élément archéologique a été victime de vandalisme et a été sectionné de façon volontaire sur sa partie inférieure. Actuellement le menhir présente tout autour une terrasse maçonnée qui le maintient dressé mais qui empêche de le voir tel qu'il était lorsqu'il a été redressé.
Menhir de la Casa Cremada I (Roses)
Le menhir de la Casa Cremada I est un grand bloc de gneiss qui se trouve dans la zone mégalithique de Roses et qui est probablement d'origine préhistorique. Il se présente sous forme de stèle et mesure 2,4 mètres de hauteur. La pierre présente une veine blanche de quartz sur la partie supérieure qui le caractérise et les bords du mégalithe ont été taillés depuis longtemps pour lui donner la forme souhaitée. Il a été découvert au mois de décembre 1996 par des habitants de Roses, Carles Pàramo Barbarà et Esteve Martínez, qui l'ont baptisé du nom de la zone où il se trouve. Le menhir a ensuite été examiné par des experts qui en ont déterminé la probable origine préhistorique à l'issue de fouilles. Au mois de mai de l'année suivante, en 1997, il a été redressé au cours de la première fête mégalithique. Il a été donné au menhir une orientation nord-sud et celle-ci est exacte car, au cours des fouilles, on a retrouvé son trou d'origine et les pierres ou dalles qui le calaient. Ainsi donc, hormis le fait qu'on ait pu établir son orientation, l'endroit où il se trouve actuellement est bien celui où l'avaient situé ses constructeurs à un moment donné entre le quatrième et le troisième millénaire avant Jésus-Christ.
Dolmen (Roses)
Menhir (Roses)
Menhir de la Casa Cremada III (Roses)
Le menhir de la Casa Cremada III est une pierre dressée en granit qui mesure 1,70 mètres de hauteur pour 1,20 de largeur à la base et 66 centimètres sur la partie supérieure. Il a une orientation très proche du N/S exacte (10º-190º) et une section rectangulaire. On voit que les côtés ont été repiqués et le côté sud est écorné. Son origine préhistorique n'a été confirmée par aucun scientifique. Il a été découvert par un habitant de Rosas, Miquel Palós Padrós, en 2002 et on pense qu'il a toujours été dressé. Pendant la préhistoire les menhirs remplissaient très certainement des fonctions de signalisation ou bien de type religieux et on les trouve fréquemment dans des zones dolméniques telles que celle où nous nous trouvons. Ces mégalithes présentent une chronologie vaste qui va du quatrième ou troisième millénaire av. J.-C. Cette pierre dressée pourrait bien être un menhir ou une borne. Toutefois, de par le fait qu'il se trouve dans une zone dolménique, il y a de fortes probabilités pour qu'il s'agisse d'un mégalithe et que ce soit l'un des quatre menhirs que le chercheur Manuel Cazurro aurait observé en 1912 dans les environs du dolmen de la Creu d'en Cobertella.
Dolmen de la Creu d'en Cobertella (Roses)
Sépulture à couloir répertoriée pour la première fois en 1912. Conservé dans une ferme, dont il prend le nom, le dolmen fut utilisé comme basse-cour jusqu'à l'abandon du mas. En 1957 l'archéologue Francesc Riuró mena à bien une campagne de fouille et de restauration du mégalithe, qui permit de fournir des renseignements sur le couloir et le grand tumulus qui l'entourait. La construction du dolmen se situe entre 3500 et 3000 av. J.-C. Le mégalithe est fait de grandes dalles en gneiss, une pierre abondante dans les environs immédiats, qui configurent la chambre de forme trapézoïdale. Les dalles qui la ferment, la couverture ovale et l'antichambre sont toujours sur pied. Ce qui n'est plus visible, c'est le couloir qui donnait accès à la chambre, formé de trois dalles sur le côté ouest et quatre à l'est, et que l'on identifie grâce aux incisions trouvées sur la roche, où étaient implantées les dalles. Quant à ses dimensions, le dolmen de la Creu d'en Cobertella est considéré comme l'un des plus importants de Catalogne. Par ailleurs, le poids considérable de la dalle de couverture fait que l'équilibre de la structure soit fragile. Pour en garantir la conservation, depuis quelques années, une clôture interdit aux visiteurs de s'en approcher et il est indiqué, par sécurité, de ne pas y monter.
Dolmen del Cap de l'Home (Roses)
Également connu sous le nom de Turó de l'Home, il s'agit d'un dolmen à chambre trapézoïdale courte, bâtie à l'aide de dalles en gneiss et à couloir étroit, bien que ce dernier élément ne soit plus visible. Derrière la partie frontale, il reste encore une partie du tumulus qui l'entourait, dont on estime la dimension à 7 ou 8 mètres de diamètre. Ce lieu a été aplani et le dolmen restauré au début des années 80. Il est connu depuis 1919, époque à laquelle Pere Bosch i Gimpera l'a répertorié, sous le nom de Puig de la Sureda d'En Mairó mais il a été désigné sous d'autres appellations au fil du temps, dont le nom actuel de Sureda d'En Falp ou Llit del General. Il a fait l'objet de fouilles à plusieurs reprises, les premières étant réalisées en 1919 par Pere Bosch i Gimpera qui y retournera en 1925, accompagné de Lluís Pericot. Pere de Palol et Miquel Oliva y ont aussi fait des fouilles en 1946. Au cours des dernières fouilles, on y a trouvé des objets d'un grand intérêt tels qu'un couteau et un grattoir en silex, un grain ou pièce de collier en stéatite et une autre en forme de disque en turquoise. Ces deux dernières pièces sont faites dans des minéraux très prisés dans l'habillement au cours du Néolithique.
Dolmen du Llit de la Generala (Roses)
Le dolmen du Llit de la Generala ou de la Sureda d'En Falp est une sépulture à couloir avec une chambre à tendance pseudo-circulaire et un couloir étroit. Il est en gneiss et présente une orientation nord-est, bien que le couloir, fait de murs en pierre sèche, se dévie de 50º vers l'ouest, probablement pour corriger l'orientation originale de la chambre. Avant les fouilles et avant d'être restauré en 2001, le mégalithe était encastré dans un muret de vigne qui en protégeait le tumulus, le couloir et les dalles tombées. Au cours des fouilles, on a pu récupérer une grande partie de la structure originale, ce qui a facilité la reconstruction du dolmen pour en favoriser la compréhension. Seul le côté gauche du tumulus a dû être refait complètement. Les fouilles sur le site ont permis de récupérer des fragments provenant d'ustensiles funéraires, en particulier dans un trou situé à l'entrée du couloir qui était très certainement la cavité rituelle. On a retrouvé dans cette cavité des objets d'un grand intérêt tels que trois bols en céramique et une assiette qui ont permis une chronologie plus précise du mégalithe autour de 3500 av. J.-C. ; toutefois, son utilisation a dû se poursuivre jusqu'au début du troisième millénaire.
Dolmen del Mas Boussarenys (Santa Cristina d’Aro)
Menhir del mas Marès (Roses)
Menhir de Pla del Bosc (Eyne)
Menhir de la Font del Sastre (Eyne)
Dolmen del Pasquerets (Eyne)
Menhir dit Pla del Bac (Eyne)
Ciste de Bac d'Amount (Font-Romeu-Odeillo-Via)
Coffre de Lo Pou (Eyne)
Dolmen de Perrières (Villedubert)
Menhir de Malves (Malves-en-Minervois)
5 mêtres de haut
Moural des morts (Villarzel-Cabardès)
Nécropole wisigothique de 42 tombes.
Dolmen du Palet de Roland (Villeneuve-Minervois)
ou Dolmen de la Jagantière ou dolmen du Vieil Homme
Tombeau de Roland (Villeneuve-Minervois)
ou Tombeau du géant
Dolmen de Roque Traoucado (Villeneuve-Minervois)
Dolmen de Brebis (Montarnaud)
Emplacement imaginaire en souvenir de ma brebis.
Dolmen de les Vinyes Mortes (Serra de Rodes)
Dolmen del mas Margall (Serra de Rodes)
Dolmen Caigut 1 (Vilajuïga)
Menhir de Montcélèbre (Cesseras)
Dolmen del Mas Baleta (Els Límits)
Conjunto megalítico del Mas Baleta (Els Límits)
Dolmen Estanys I (Els Límits)
Dolmen Estanys II (Els Límits)
Inscultures de Planells (Vilajuïga)
Dolmen del Garrollar (Vilajuïga)
Dolmen du Cayroux (Le Puech)
Dolmen de Buzareingues (Sévérac-d’Aveyron)
Dolmen de Galitorte (Sévérac-d’Aveyron)
Capitelle (Sévérac-d’Aveyron)
Dolmen de Surguières (Gaillac-d'Aveyron)
Dolmen de Restous (Sévérac-d’Aveyron)
Dolmen de la Glène (Saint-Léons)
Dolmen de Concoules 1 (Montjaux)
Dolmen du Puech
Dolmen de Concoules 2 (Montjaux)
Dolmen de Concoules 3 (Montjaux)
Caché dans la végétation sous un chêne.
Dolmen de Concoules 4 (Montjaux)
Dolmen de Concoules 5 (Montjaux)
Tombes de la Roubière (Viala-du-Tarn)
Dolmen de la Cabana Arqueta (Espolla)
Partiellement restauré avec des pierres et du ciment, c’est moche et cela lui enlève tout son charme.
Dolmen des Isserts (Saint-Jean-de-la-Blaquière)
Dolmen du Coste Rouge (Soumont)
Dolmen de Jonquet (La Cavalerie)
Dolmen de la Fabière (La Cavalerie)
Dolmen de Tires Llargues (Sant Climent Sescebes)
Dolmen de la Gutina (Sant Climent Sescebes)
Menhir de la Murtra (Sant Climent Sescebes)
Dolmen de la Burnaua (Palau-saverdera)
ou Barraca d'en Rabert
Dolmen de la Devesa (Palau-saverdera)
Dolmen Rocalba (Agullana)
Dolmen de Galuert (Llauro)
Dolmen de la Madeleine d'Albesse (Monze)
Allée couverte de Saint-Eugène (Laure-Minervois)
Dolmen des Rafènes (Sainte-Eulalie-de-Cernon)
Pierre Bamboche (Collias)
Dolmen de la Jaça d'en Torrent (L'Estrada)
Tombeau wisigoth (Vendémian)




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