Le Crépis de Nîmes |
Autres noms communs : Crépide sainte, Engraisse-mouton, Ptérothèque de Nîmes, Salade de lièvre, Herbe rousse. Nom scientifique : Crepis sancta Autres noms scientifiques : Lagoseris bifida, Lagoseris macrantha, Lagoseris orientalis, Lagoseris sancta, Pterotheca aurantiaca, Pterotheca eriopoda, Pterotheca falconeri, Pterotheca glabrescens, Pterotheca griselica, Pterotheca leptoclada, ... Nom occitan : Engraissamotons, Mal d'uèlhs
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Id : 34 Famille des : Astéracées (Composées) Comestible : Bon Cycle de vie : Annuelle Protégée : Non Altitude : 750 m Type de Végétal : Herbacée Type de Racine : pivotante Taille : 5 cm à 30 cm Habitat : bords de chemin de fer, bords des chemins, lieux incultes, vignes, milieux ouverts, cultures, garrigue sur sol tendre, pelouse, en lieux secs. Répartition : Presque toute la France à faible altitude, surtout dans le Midi (Languedoc, Provence) et s'étalant vers le Nord.. Étymologies : Crepi : du grec 'krêpis' (soulier), ancien nom grec et latin d'une plante qui a la tige feuillée. Revirasoleu : Des mots occitans 'revirar' (retourner) et 'solelh' (soleil), les fleurs tournent avec le soleil. Sancta : En latin (sainte, sacrée). |
Éléments reproducteurs |
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Propriétés et utilisations |
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Structure |
Caractéristiques de la Plante : Très appréciée des moutons et aussi des hommes, elle est une des premières plantes à fleurir à la fin de l'hiver. Elle tapisse de grandes étendues colorant le paysage de jaune. Les ronds-points, les vignes. Aucun coin d'herbe n'est épargné. Caractéristiques de la Feuille : en rosette, vertes, rousses avec le temps, alternes, poilues. Le limbe est oblong, pennatifide, denté ou découpé jusqu'au milieu, segment terminal plus grand, recouvert de poils simples, mucrons noirs bien visible sur le lobe. Limbe : simple. Possition : basale. Feuille Type de Racine : pivotante Caractéristiques de la Racine : blanchâtre à latex abondant. Caractéristiques de la Tige, d'un Rameau ou du Tronc : pubescente, nue, simple ou peu ramifiée. Orientation : dressée ou érigée. |
Informations complémentaires |
Histoire : Antoine Gouan, botaniste montpelliérain, qui avait découvert un spécimen au pied de la Tour Magne à Nîmes, la décrit en premier au XVIIIe siècle dans les flores françaises. D'autres mentions antérieures dans la littérature ne permettent pas de dire que l'espèce est tés ancienne, mais simplement qu'elle s'est répandue du sud au nord de la France. Plantes de la famille des : Astéracées (Composées) Répartition en France
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Photos |
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