Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
anorexie, léthargie, tremblements, troubles nerveux.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
fourrage contaminé : anorexie, incoordination motrice, lésions hépatiques.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
fourrage contaminé : colique, accélération de la respiration, incoordination motrice, coma.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
glands, feuilles : constipations, hypothermie, puis diarrhées nauséabondes, éventuellement hémorragiques.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
glands, feuilles : constipations, hypothermie, puis diarrhées nauséabondes, éventuellement hémorragiques.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
Ecorce, racines, graines, jeunes feuilles : troubles gastro-intestinaux, apathie puis excitation, mydriase.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
convulsions, avortement.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
diarrhées et convulsions pouvant entraîner la mort.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
diarrhées et convulsions pouvant entraîner la mort.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
diarrhées et convulsions pouvant entraîner la mort.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
diarrhées et convulsions pouvant entraîner la mort.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
diarrhées et convulsions pouvant entraîner la mort.

  Symptômes de l'intoxication chez les ovins :
ensilages contaminé : anorexie, abattement, colique, anémie, hémoglobinurie.

  Risque de confusion avec : d'autres salicornes vivaces et amères.
avec le Fenouil marin ou Criste marine (Crithmum maritimum) qui porte les mêmes noms de « Passe-pierre », « Perce-pierre » ou « Pousse-pierre ».

  Risque de confusion avec : avec le Sorbier des oiseleurs (Sorbus aucuparia) dont les folioles sont dentées sur toute la longueur du limbe alors que celles du Cormier ne le sont que sur les deux tiers supérieurs.

  Risque de confusion avec : Malgré son nom elle est souvent confondue avec les Crocus qui sont de la famille des Iridacées et qui ne possèdent que 3 étamines, alors que les Sternbergias en possèdent 6.

  Risque de confusion avec : Avec les pignons chinois non comestibles, issues d'un autre arbre (Pinus armandii), ils sont plus petits, amèrs, moins allongées et ont la forme des menhirs d'Obélix. Plusieurs témoins racontent qu'après consommation des pignons chinois ils étaient sujets à de troubles gastriques et que pendant plusieurs jours ils avaient une amertume désagréable en bouche. Ils sont malheureusement encore commercialisés.

  Risque de confusion avec : le Sumac des corroyeurs (Rhus coriaria), dont les feuilles sont semblables et le vernis du Japon.

  Risque de confusion avec : Le panicaut est appelé populairement « chardon » à cause de son port épineux, alors qu'il appartient à la famille des Apiacées (Ombellifères) et non pas de la famille des Astéracées (Composées), comme le Chardon-Marie ou le Chardon béni.

  Risque de confusion avec : Le panicaut est appelé populairement « chardon » à cause de son port épineux, alors qu'il appartient à la famille des Apiacées (Ombellifères) et non pas de la famille des Astéracées (Composées), comme le Chardon-Marie ou le Chardon béni.

  Notes complémentaires : À Djerba en Tunisie, des enfants ramassent puis vendent aux bords des routes en novembre, des bottes d'une variété d'ail rose (Allium roseum var. odoratissimum) aux noms arabes de 'Gazoul', 'Yasoul', 'Lazoul' ou 'Korrath', et souvent confondu avec la Ciboulette (Allium schoenoprasum). Bien qu'utilisé dans la cuisine locale, il est cependant recommandé de ne pas en acheter afin de préserver cette espèce qui a tendance à se raréfier.

  Notes complémentaires : Les racines contiennent de l'amidon, sont très appréciées des sangliers et étaient autrefois un aliment recherché en période de disette. Mélangées à des figues, utilisées dans la panification ou distillées pour obtenir un alcool très pur. Elles servaient également à préparer une colle pour les reliures et la cordonnerie.
Les rosettes sont délaissées par le bétail.
Les tiges séchées servent de fourrage et s'utilisent pour la confection d'objets.
L'asphodèle rameux est le lieu de prédilection de ponte en Corse de la sauterelle l'Éphippigère d'Algérie (Uromenus brevicollis insularis).
Elle était souvent utilisée dans l'Antiquité pour fleurir les tombes, d'où la légende du Pré de l'Asphodèle, lieu des Enfers dans la mythologie grecque.

  Notes complémentaires : Moins de risque de contamination par la douve du foie, car elle ne pousse pas dans les cours d'eau.
Plante hôte du papillon Aurore ou Piéride du Cresson (Anthocharis cardamines).

  Notes complémentaires : Autrefois consommée au Moyen-orient.

  Notes complémentaires : peut provoquer la mort d'animaux d'élevage si elle est incorporée à du fourrage

  Notes complémentaires : La forme sauvage est protégée sur le plan national.

  Notes complémentaires : Connue pour être le mets favori des Schtroumpfs.

  Notes complémentaires : Les espèces de cuvettes formées à la base des feuilles où est recueillie l'eau de pluie servent de buvette à certains oiseaux qui viennent s'y abreuver. D'où le nom « cabaret des oiseaux »

  Notes complémentaires : Toute la plante est toxique, surtout les baies vertes non parvenues à maturité. Bien que les baies noires arrivées à maturité contiennent moins de toxines suivant le lieu de récolte (Nature du sol et exposition) et passent dans certains pays pour comestible, il est fortement déconseillé de les consommées. Plusieurs enfants en France en ont fait l'expérience et se sont empoisonnés.

  Notes complémentaires : Contient de la colchicine (puissant alcaloïde, mortel pour l'homme à partir 40 mg) et il arrive souvent au bétail d'être intoxiqué.